Que depuis le temps que je les avais en poche, nous n'avions pas eu le temps d'en faire usage
Et que la fin du temps imparti pour en jouir (puisque toutes les bonnes choses ont une fin) fût presque venue puisque ce sera en cette fin d'année, qui prend fin demain, que mes places expirent (inspire...)
Nous avons enchaîné depuis le début de décembre et jusqu'à ce soir plus d'une séance, plus d'une image (25 à la seconde), quelques rires, pas mal de larmes et plus d'une émotion (bien plus) car ne déborde pas qui veut mais moi je sais faire...
Si vous m'avez bien suivi (pas toujours simple à cette heure tardive... mon esprit s'embrouille, mes mots s'emballent et j'vous les déballe à plus de 50 à la seconde... respire... souffle !), vous comprendrez donc aisément ce qui suivra...
Dans l'ordre de visionnage, titre et ressenti :
Le transporteur 3 : une envie toute personnelle, j'suis fan de l'acteur... me demandez pas pourquoi, je n'y répondrai pas :p
L'échange : un jeu d'acteur magnifique et une mise en scène à couper le souffle. Je me suis retenue de hurler tant j'avais mal. Mais pas de pleurer. Je me suis trouvée projeter dans le film. Clint Eastwood a un putain de talent (désolée, pas d'aut' mot).
Le prix de la loyauté : un bon film du genre et Edward Norton toujours aussi be... heu, bon ! Pas mieux cependant que dans Le voile des illusions.
Burn after reading : heu... allumé et critique. Les frères Coen, peut être ?
Mais quelle leçon en tirer ?
Ne pas le refaire !
Mais qu'avons-nous fait...
Largo Winch : pas lu les BD. Pas mauvais. Mais ça ne casse pas trois pattes à un canard (même laqué)...
Madagascar 2 : que du bonheur. Et je ne dis pas ça uniquement parce que j'ai 10 ans (je sais que c'est pas vrai mais j'ai 10 ans... si tu me crois, hey, t'vas voir ta gueule à la récré !)
Australia : ne vous en passez pas (ainsi que d'un bon paquet de mouchoirs en y allant pour celles qu'ont un coeur fondant-nian-nian et qui pleurent devant la petite maison dans la prairie). Des plans magnifiques, un beau conte, de l'amour (et Hugh Jackman sans son costume de X-Men... miam... c'est moi qui ai dit ça ?). Et des paquets de larmes (qui ont fait dire à ma moitié t'es sûre que t'as aimé, t'as pleuré tout le film...). On ne se refait pas (surtout quand on n'a pas envie).
Et le film est terminé
lalala la la
lalala la la
Y'a plus qu'à recommencer !