lundi 25 juin 2012

Saint-Jacques et fondue de poireaux

Pour un dimanche midi en douceur après quelques excès d'un samedi soir par exemple :)


Pour la fondue de poireaux :

Ingrédients : des poireaux (si, si, j'vous jure) / du beurre / 4 cc de crème fraîche / 1 cc de moutarde / sel & poivre

Préparation :
. Lavez soigneusement les blancs de poireaux.
. Coupez-les en 2 dans le sens de la longueur et émincez-les finement.
. Dans une grande poêle, faites fondre le beurre à feu doux
. Ajoutez les poireaux, salez et poivrez.
. Faites étuver à couvert en remuant de temps à autre avec une cuillère en bois.
. Ajoutez la crème fraîche et la moutarde.
. Laissez cuire à feu moyen 10 min.

Pour les Saint-Jacques :

Ingrédients : des Saint Jacques  (si, si, j'vous jure...) / du beurre / deux gousses d'ail / du persil

Préparation :
. Faites fondre le beurre dans la poêle bien chaude avec un peu d'huile d'olive.
. Mettre l'ail dans la poêle et laissez frire deux minutes. Ajoutez les Saint Jacques et laissez cuire quelques minutes en remuant de temps en temps.
. Ajoutez le persil ciselé (au ciseau directement au-dessus de la poêle).

Servez-les accompagnées de la fondue de poireaux.

dimanche 24 juin 2012

Le Mot Compte Triple nouveau est arrivé

Pffffffffffffffff... pensent certains (beaucoup) d'entre vous. 

Pas grave, moi, j'm'éclate :)

Mot Compte Triple devient Par mots et par vues, le blog de qualité plus que de quantité. Et comme son nom le sous-entend, il sera fourni en mots et (plus souvent) en photographies mais toujours un ou une à la fois.




Des nouvelles de mon objecteur de conscience alimentaire


Et autant le dire tout de suite, les nouvelles ne sont pas terribles.Il n'était pas très content l'objecteur de conscience alimentaire. Du tout, du tout, du tout. Parce que je n'ai perdu qu'un petit kilo. Mieux que rien, certes, mais pas suffisant car si je continue à ce (dé)compte là, je ne suis pas rendue.

A un kilo les 3 semaines que multiplie les 25 restants à perdre, dans 75 semaines j'en aurais peut être fini avec le dégraissage.

Avant d'embrayer avec la phase de stabilisation censée durer deux fois plus longtemps que multiplie, donc, 75 semaines + 5 mois = un pétage de plomb à coup sûr.

Bon bé, il me reste à passer en mode coup de pied au cul et crudités dans l'estomac. Et que ça saute !



jeudi 21 juin 2012

Gâteau Napolitain

Je suis abonnée à plusieurs blogs de cuisine et reçoit chaque jour de nouvelles idées à exploiter. 
Cette idée-ci me vient d'un blog dont le nom est plein de promesses : Chocolat à tous les étages. A la réception de la lettre d'informations de ce blog, et constatant que j'avais tous les ingrédients nécessaires à la réalisation de cette recette, je n'ai pas pu résister ! Et voilà : une grande fierté car en plus d'être beau, c'était très bon. 
Note pour plus tard quand même : remplacer la ganache par du Nutella, du Philadelphia au Milka, voire de la pâte à tartinée maison et cuire le biscuit moins longtemps.


Pour le biscuit :

Ingrédients :
1 yaourt nature
3 pots de yaourt de sucre dont 2 sachets de sucre vanillé
4 pots de yaourt de farine
1/2 pot de yaourt d'huile de tournesol
4 œufs
1 sachet de levure
3 cuillères à soupe de cacao Van Houten
quelques gouttes de liqueur d'amande

Préparation :
. Préchauffez le four à 180°C.
. Mélangez le yaourt, le sucre, la farine, la levure, l'huile et les œufs et mélangez bien.
. Séparez la préparation en deux et ajoutez, dans le premier saladier, la liqueur d'amande, dans le second, le cacao.
. Chemisez une plaque allant au four afin de pouvoir verser les pâtes l'une à côté de l'autre sans qu'elles ne se mélangent.


. Enfournez pendant une petite vingtaine de minutes. Couvrez avec une feuille d'alu. Surveillez pour que le biscuit reste moelleux.
. Laissez refroidir.
. Découpez les plaques de biscuits en deux parties selon l'épaisseur du biscuit.

Pour la ganache chocolatée :

Ingrédients :
une tablette de chocolat
20 cl de crème liquide
10 cl de lait

Préparation :
. Faites chauffer la crème et le lait dans une casserole.
. Ajoutez le chocolat et remuer jusqu'à ce qu'il soit fondu.
. Laissez refroidir.

Pour terminer le gâteau :
. Posez une couche de biscuit au chocolat au fond d'un plat.
. Tartinez-le de ganache au chocolat.
. Posez ensuite une couche de biscuit à l'amande.
. Tartinez-le de ganache.
. Recommencez jusqu'à épuisement des stocks.
. Rectifiez la forme du gâteau en coupant les bords.


Pour le glaçage :

Ingrédients :
100 g de sucre glace
2 cs de l'eau
quelques gouttes de jus de citron

Préparation :
. Mélangez et réservez.
. Étalez le glaçage sur le dessus du gâteau.
. Saupoudrez de vermicelles colorés au chocolat.
. Mettre le gâteau au frais plusieurs heures avant de le dégustez (une nuit, c'est le top !)


mardi 19 juin 2012

Le Hachis Parmentier...

... ou comment faire à manger un soir et avoir de quoi manger pendant une semaine !


Ingrédients :
Un gros reste de rosbeef
Deux sachets de purée instantanée (oui, je sais, la vraie est meilleure mais quand même la Mousseline à des petits goûts d'enfance que mon petit bout ne refuse pas... et un peu de tranquillité pendant un repas du soir, moi, je ne refuse pas ! Et puis franchement, en une demie-heure entre le moment où nous rentrons et le moment où il a faim, je n'ai pas non plus les moyens de faire bien plus.)
1 litre d'eau
50 cl de lait
Du gruyère

Et pour les grands, on ajoute : 
de la muscade, 
deux oignons, 
de la ciboulette, du romarin, du thym, des herbes aromatiques en veux-tu en voilà quoi !
sel et poivre

Préparation
. Pour la purée, vous n'avez qu'à suivre les instructions sur le paquet. Ajoutez-y la muscade.
. Préchauffez le four sur 210°C.
. Moulinez la viande et réservez.
. Faites revenir les oignons à la poêle dans un peu d'huile d'olive. Ajoutez les herbes aromatiques choisies.
. Dans un plat allant au four disposez les oignons, puis la viande, puis la purée et couvrez de fromage râpé. Salez et poivrez.
. Placez au four pendant 30 minutes.
. Avec une salade fraîche et craquante, c'est le pied. Surtout par ce temps d'automne pluvieux !

samedi 16 juin 2012

Chocolaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaattt !


Sans commentaire...

Pour la mousse au chocolat : 200 g de chocolat blanc / 15 cl de crème liquide / 2 blancs d'oeufs

. Faites chauffer la crème et versez-la sur le chocolat en morceaux.
. Remuez jusqu'à ce qu'il soit fondu.
. Laissez refroidir une heure puis fouettez au batteur électrique.


Pour la couche de brownie : 225 g de sucre / 120 g de chocolat noir / 90 g de beurre / 2 œufs / 90 g de farine / 50 g de noisettes ou de noix de macadamia grillées et concassées (ou encore 4 Granola en miettes)

. Beurrez un moule (carré, rond, triangle, ...). Pour ma part, j'ai sauté cette étape : déjà assez de beurre dans le gâteau.
. Battez les oeufs. 
. Faites fondre le beurre et le chocolat comme bon vous semble du moment que ça fond (bain-marie, casserole, micro-ondes) et laissez refroidir.
. Ajoutez les œufs battus puis le sucre et la farine. Mélangez rapidement mais délicatement. Puis incorporez les noisettes, noix, ou autres garnitures de votre choix.
. Versez dans le moule et faites cuire au four, le temps que le dessus soit croustillant et le cœur fondant (environ 20/25 minutes selon votre four. A surveiller cependant, le mien est resté 30 minutes et c'était trop).

Pour la sauce au chocolat au lait : 20 cl de crème liquide / 150 g de chocolat au lait / 10 cl de lait (entier ou non)

. Portez la crème et le lait à ébullition.
. Versez-les sur le chocolat en morceaux.
. Remuez bien et laissez refroidir.

Pour assembler
. Sur le brownie refroidi, versez une couche de mousse au chocolat blanc et placez au frigo 2 ou 3 heures.
. Servez accompagné de sauce au chocolat au lait et parsemez de ce que vous voulez du moment que ça fait joli (miettes de gâteau, vermicelles en chocolat colorés, noix, ...) !

. Et puis, bah, mangez (si tant est que vous ayez besoin qu'on vous y invite). 

Des lectures ?

Oui quelques-unes. Mais peu de littérature romancée.

Il y a quelques temps, j'ai lu : Un éclat minuscule de Jean-Baptiste Gendarme et Rouler de Christian Oster.

Le premier se déroule sur une plage de temps réduite et doit nous faire sentir combien la vie peut vite basculer. C'est à peu près réussi. Pourtant, je n'ai pas vraiment accroché. Par moment même, ce livre m'a gonflé et ce malgré le peu de pages qu'il contient. 
Prévisible ? Peut être un peu trop.
Décevant ? Non.
Dérangeant ? Sûrement. Je me suis peut être trop identifiée. D'où le rejet que cette lecture a provoqué.
La vie peut basculée, on le sait. Mais on préfère l'oublier...

Quand au second, il n'était pas mal non plus mais un peu froid, comme distant. On suit aisément le périple de cet homme qui décide de rouler sans but autre que d'avancer, d'aller voir ailleurs s'il y est. Divertissant, plein d'allant (c'était le but), bien que je le répète peut être un peu trop froid dans l'écriture à mon gôut.

Et sinon, je n'arrive pas trop à lire, ces temps-ci. J'ai l'esprit ailleurs. Et la lecture avec.

C'est ainsi que j'ai lu beaucoup d'autres livres et magazines tous en lien avec ma monomanie du moment : la photographie. Et impossible de m'arrêter tant c'est passionnant. De toute façon, il faut bien s'occuper par ce temps... Alors je poursuis mon autoformation :)



C'est le jardin qui est content...

lundi 11 juin 2012

Les samossas (ou pas...)


Ingrédients pour 16 samossas :

- 150 gr d'épaule d'agneau hachée
- 1 oignon
- 80 gr de féta
- 10 brins de coriandre fraiche
- 5 feuilles de menthe fraiche
- 40 gr de beurre
- une bonne pincée de cumin
- du sel et du poivre
- 8 feuilles de brick

Préparation :
Faire revenir la viande.
Ajouter l'oignon ciselé.
Saler, poivrer et ajouter le cumin.
Laisser revenir 5 min.
Mettre dans un plat et laisser refroidir.

Préchauffer le four à 200 °.

Quand la viande a refroidi ajouter la coriandre et la menthe ciselé finement. Puis la féta émiettée.
Bien mélanger le tout.

Faire fondre le beurre.
Couper les feuilles de brick en 2.
Badigeonner une feuille de brick à l'aide d'un pinceau, de beurre fondu.

Pour le pliage

Rabattre le coin arrondi pour former un rectangle.
Déposer une cuillère à soupe de farce à 4 cm de la base.
Rabattre en triangle une fois à droite et une fois à gauche.
Fermer en rabattant l'extrémité dans le dernier pli.

Déposer vos samossas sur une plaque et enfourner jusqu'à ce qu'ils aient doré (une dizaine de minutes).

C'est un régal à l'apéro ou en entrée.

dimanche 10 juin 2012

Miam miam :)

Une petite recette très fraîche et bien agréable pour les papilles ! Elle provient du Cuisines et vins de France de septembre-octobre 2011. Recette suivie à la lettre + un peu de miel liquide (pas pu m'en empêcher).

Ingrédients : 200 g de fromage de chèvre frais / 2 pommes vertes / 16 tranches de magret de canard fumé / 10 cl de crème liquide / 2 cs d'huile d'olive / 20 g de beurre / sel, poivre / 2 cs de miel liquide

Épluchez les pommes et coupez-les en petits cubes, en éliminant le cœur et les pépins. Faire fondre le beurre à feu vif et y faire revenir les cubes de pomme en remuant pour qu'ils dorent. Réservez.

Dans un saladier, émiettée le chèvre frais. Dans une petite casserole sur feu doux, versez la crème liquide, salez et poivrez. Éteignez le feu avant ébullition. Versez la crème chaude, petit à petit, sur le chèvre frais en l'écrasant à la fourchette jusqu'à obtenir une crème. Versez l'huile et le miel et travaillez le mélange pour qu'il soit homogène.

Montez les verrines en alternant crème de chèvre, pommes et magret. Réservez au frais.

Sortir du frigo 10 minutes avant de servir.

Et régalez-vous !

samedi 9 juin 2012

Périple dans la brume - #7

Je n'avais même pas fini de vous parler de notre périple dans la brume de février dernier !
La fin de notre passage dans le nord de l'Europe (enfin pas tant au nord que cela !) nous a mené à Liège et dans sa région. De quoi découvrir de nouveaux coins jolis et accueillants. Nous vous conseillons notamment d'aller visiter Bouillon pour ses chocolateries et Durbuy, dont la vieille ville est des plus charmantes.




Ainsi que Stavelot et son musée. Nous avons eu la chance d'y voir quatre expos : la première sur Appolinaire, la seconde sur Doisneau, la troisième concernait le circuit de Spa et la dernière concernait l'histoire de l'abbaye.



Oublier par contre Liège à moins que vous n'ayez une attirance particulière pour Arcelor Mittal et ses usines qui s'étendent sur des kilomètres et des kilomètres le long de la Meuse.



Prochaine destination : encore non définie. Nous mettons notre avenir au repos, histoire de laisser venir à nous la suite des évènements.... L'appareil, lui, ne restera cependant pas au repos. Pas besoin d'aller loin pour pratiquer :o)

jeudi 7 juin 2012

Dis, Maman, à quoi tu penses ? - # 27

- Oui, je sais, je n'ai pas pensé depuis longtemps. Pas par écrit en tout cas. Parce que sinon mon cerveau turbine, croyez-moi ! Et Boubou aussi. Depuis qu'il a eu 14 mois et qu'il a compris quoi faire avec ses deux pieds plus vite qu'à quatre pattes, il ne s'arrête plus !

- Et un enfant qui apprend à marcher, c'est beau. Même avec douze bosses sur le front...

- Les petits pots ou assiettes du commerce pour les petiots, à partir de 14/15 mois, c'est juste pas du tout adapté... à leur geste ! Trop liquide, les gars et les filles de l'agro-alimentaire pour nains ! Il faut du solide, voire du qui colle bien à la cuillère pour pouvoir résister à des secousses sismiques importantes et aller sans heurt de l'assiette à la bouche du Boubou dans une cuillère susceptible d'être tenue à l'envers, voire une fourchette quand ils grandissent, le tout en passant par le plafond (ou pas loin).

- Il y a des choses qui sont instinctives : rogner un os (il a deviné tout seul ce qu'il fallait faire avec les os du travers d'agneau que son père laissait négligemment traîner sur le bord de son assiette, se les gardant pour la fin), boire à la paille (2 secondes 30 d'apprentissage) et étaler la purée sur tout support à portée de main (les meubles apprécient).
-Nourrir Boubou, c'est être inventif, de bonne composition et aimé(e) être sale ... Très sale...

- Ce soir, en direct du lit de Boubou, c'est rave-party avec toutes ses peluches ! Et dans 5 minutes, ce sera flying-party pour toutes les peluches (sauf Winnie) ! Et demain matin, ce sera ramasse-les-peluches-party pour maman ! Le cycle de la vie, quoi.

- Boubou ce qu'il aime, ce sont les voitures. Les petites, les grosses, les moyennes. Les vrais dans la rue, les petites dans son coffre à jouet et même les fausses en papier glacé. Deux voitures (une pour chaque main) et il s'occupe pendant longtemps. Et longtemps, en temps de Boubou, ça veut dire au moins dix minutes avant qu'il ne lève le nez et s'écrit "Ma-man", pour vérifier que je suis bien dans les parages... ou pour vérifier que son papa est bien dans les parages... Il ne fait pas encore bien la différence. J'ai pourtant bien essayé de lui expliquer que le plus poilu des deux, c'est papa. Mais ça n'a pas l'air de rentrer. Bon en même temps avec cette méthode, il va finir par croire que le chat c'est papa. Déjà que parfois, il s'adresse à moi en miaulant...

- Et ses voitures, Boubou les aime dans le salon, dans son lit (jamais sans une voiture pour aller dormir et gare à celui qui lui retire), sous mes pieds la nuit quand je ne les range pas bien, dans son bain (qu'elle soit amphibie ou pas) et dans mon sac à main en cas d'urgence au cours d'une sortie.

- Ma-Man.... Ma-Man.... Ma-Man...?... Pa-PA ? C'est dimanche, il est 7h30 : Boubou est réveillé !

- Nourrir Boubou, c'est détourné son attention avec une voiture, quelqu'un de la famille sur Skype, une cuillère et un verre, des grimaces, l'imiter dans ses méthodes brevetées "actor studio", lui désigner le chat impatient qui passe et qui repasse, etc. Et dans ce cas, il ouvre la bouche sans y penser et vous pouvez y enfourner ce que vous voulez. Mais faut être rapide. L'état de grâce est parfois de courte durée...


- Un enfant qui apprend à marcher c'est douze bosses au cœur par jour. Au moins.


- Ce soir, en direct du lit de Boubou, c'est rêve-partie... En faim !

vendredi 1 juin 2012

Et de 15 !

Voilà plusieurs semaines que je vous parle cuisine et non plus régime alimentaire, ce qui en soit pourtant se rejoint sans pour autant avoir le même but. Enfin, ça dépend... ça dépasse :)

Et pour cause ! Non pas que je me sois arrêtée en route. Mais disons plutôt que je flâne, j'apprécie, je prends le temps de bien voir le paysage sur ma route. Oh une feuille de salade ! Mais que cache-t-elle ? Mon Dieu, mais quel beau gâteau au chocolat ? En prendrais-je ? Oui... Non... Elle hésite... C'est une femme admirable...
Si je me récapitule : 
- j'ai débuté mon périple le 21 janvier dernier
- au check-point du 30 mars, j'affichais : moins 10 kilos
. nous voici rendu au check-point du 1er juin, et ma balance respire : je suis à moins 15 kilos.

Un beau score dont je m'auto-félicite parce que 1) j'en ai envie 2) je le veau bien et 3) c'est comme çaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa la la la la la...

Quitte à m'autoféliciter encore plus, je rappelle que depuis la naissance de Boubou, en ajoutant à ces kilos-là les précédents déjà perdus, j'en suis donc à moins 30 kilos.

Par contre, je vais éviter de penser à ce qui reste encore à faire parce que vu le rythme que j'ai pris, je risque de me décourager carrément avant de confirmer définitivement la réouverture des soldes (ou si ça vous parle plus : la reprise du déstockage).

Le doc m'a cependant tracé la route des prochains mois : ce sera (devra être) moins 1 kilo par semaine et ce jusqu'à fin juillet. Et août sera chômé dans tous les sens du terme. La suite se décidera à la rentrée mais a priori on bataillera avec 5 kilos supplémentaires suivi d'une pause de quelques semaines pour enfin attaquer la dernière ligne droite et attendre la 6ème dizaine.

Prochain check-point donc : le 31 juillet et moins 8 à 10 kilos !

Toujours est-il que du coup et pour le présent, j'ai enfin pu virer de mon placard les tailles 50 et 48 pour y placer du 46 parfaitement ajusté (en bref, je ne suis plus serrée dans mes vêtements). Encore 5 kilos, et je pourrais commencer à essayer le contenu des 3 boîtes qui m'attendent encore au-dessus de l'armoire et qui contiennent les tailles du dessous, celles que je mettais il y a... pfiou, longtemps (un temps ancien, le temps d'avant, je vous parle d'un temps que certains de mes bourrelets ne peuvent pas connaître...) !

En outre, j'ai enfin trouvé avec cette perte où se situait le seuil de la douleur : j'ai en effet pu tester qu'en deça d'un certain poids, mon dos ne me fait plus autant souffrir. Une gêne est là mais elle n'est pas insupportable (sous réserve de mauvaise position, mauvaises chaussures, mauvais sac et autres accessoires qui ne ressemblent pas à une tenue sportswear accompagnée d'une magnifique mais si confortable paire de chaussures de rando...).

Quant aux derniers conseils donnés par le doc avant que l'on ne se sépare, j'ai retenu les suivants :
- je suis une 3 S (rien à voir avec la marque de VPC...) : sel, sucre et sédentarité
- un écart même minime, c'est trois jours de régime fichu en l'air !
- tout me profite dès que c'est salé, sucré ou pas bouger...

En termes alimentaires, j'ai ma feuille de route des trois prochaines semaines dont le contenu varie d'une fois sur l'autre mais reste toujours régit par des principes basiques ni sucre, ni sel, ni épices, ni moutarde, comme toujours. Pas de féculents, que des fruits et légumes accompagnés de poissons, viandes blanches ou œufs, des yaourt ou du fromage blanc, du pain aux farines complètes le matin seulement, et comme boisson de l'eau uniquement. Rien que de très banal mais le changement de régime alimentaire toutes les deux à trois semaines permet de s’essouffler moins vite.


A cela j'ajoute le défi des trois prochaines semaines qui sera de m'attaquer à ma sédentarité (les bonnes idées de ma collègue jamais en panne d'un compliment ou d'un soutien) :
- monter les escaliers et ne plus me laisser porter par les escalators et autres machines ascensionnelles
- et si je m'en sens le courage, aller marcher 20 minutes chaque midi de la semaine.

Bon bé avec tout ça, je suis parée pour la suite !