mercredi 30 mai 2012

Charlotte aux fraises

La voilà enfin, ma charlotte tant attendue ! Je la voulais, je l'ai eue !!! Et elle était super bonne ! D'autant que nous l'avons dégustée au soleil alors elle n'en avait que plus bon goût.



Ingrédients :
500 g de fraises, 400 g de fromage blanc, 30 cl de crème liquide, 3 sachets de sucre vanillé et 3 cuillères à soupe de cassonade,  36 boudoirs, un peu d'eau et de sucre

Les étapes qui mènent vers le paradis :
. Placez la crème liquide dans un saladier ainsi que les fouets de votre batteur au frigo pendant une bonne demi-heure avant de commencer.

. Mélanger le fromage blanc et les sucres dans un autre saladier.

. Lorsque le temps est écoulé, faire monter la crème au batteur électrique (ou au fouet à main mais dans ce cas bon courage ! Il faut fouetter pendant au moins 5 minutes.).

. Mélanger ensuite la crème fouettée au fromage blanc en soulevant doucement les préparations pour qu'elles se mêlent entre elles.

. Mélanger un peu d'eau avec du sucre (pour ma part, j'ai utilisé du sucre barbe à papa). Tremper la partie plate de chaque boudoir et les déposer au fond et sur les bords, côté bombé, dans votre plat à charlotte (ou dans un plat à soufflé).

. Recouvrir de crème, puis de fraises coupées en morceaux, puis de crème, puis de fraises coupées en morceaux, puis de crème. Recouvrir à nouveau de gâteau. Refermer ou couvrir.

. Mettre le plat au frigo au minimum 24h.

Même si sur le coup, vous vous dîtes "ça ne marchera jamais !" parce que la crème vous paraît un peu liquide, espérez quand même un peu. Le lendemain, je ne m'y attendais pas et n'en revenais pas en ouvrant le plat : ça avait pris !

A noter que certains s'évitent le stress et ajoutent une ou plusieurs feuilles de gélatine préalablement trempées dans du jus de citron à la crème.


. Savourez !

***

Et en prime, un lien vers un gâteau au chocolat super bon que j'ai également réalisé ce weekend : !

jeudi 24 mai 2012

En panne de mots, mais pas de sens

En panne, je suis. Les mots me fuient.

Un peu direct.
M’arrêterais-je, ici ?
Ah non tout de même, c’est un peu court.
Reprenons don’ la plume pour se gratter le cerveau…

Au figuré :
En panne d’essence, je suis à sec. Vide est mon bec.

Encore un peu gourd, j’en conviens bien mais le mot est lourd…

Et si je tente de m’armer d’un outil ?
Je me sens comme en panne d’un marteau pour frapper du sceau de l’indifférence ma platitude littéraire.
Tranchant propos laid, il est vrai. Et ce n’est pas le piolet qui me contredirait…

Je vous sens toujours sourds à mon propos. C’est que je navigue à vue dans un monde bien agité. Voyez un peu :

En panne, je recherche mon équilibre, tente d’immobiliser ma dérive, lutte contre le vent de la colère de mon dictionnaire qui porte haut sa voilure déchaînée !
Doucement, lui murmure-je, laisse-moi du temps.
Mais, rien à faire. Il est exigent.
Désolée, c’est trop dur, faut que je fasèye.

Alors, en panne, j’étoffe mon écrit, de laine ou de soie, voire de coton, parfois. Mais mon poil (d’inspiration) est trop court.
(Mais pas celui de l’humour, n’est-il pas ?)

En panne, donc, c’est un faîte. Sur le fil, je me raccroche à une maigre charpente faîte (encore !) de mots épars mais somme toute dociles, pour à mon rythme rejoindre le sommet de mon inspiration en pente…

Et de panne en panne, j’ai engraissé le propos, enrobé de couenne mon presque concetto.
Un peu présomptueux ? J’avoue...
Mais point de nouveaux mots, même fort à propos, pointant à l’horizo(n).

Non. Même l’horizon est en panne. N’y traîne qu’un mince filet de fuyantes idées impossible à enfiler.

Il me reste alors plus qu’à espérer que cette impossibilité, ce manque d’essence même d’à propos, ne soit que momentané.
Sinon… quelle plaie !

***

Pour les impromptus sur le thème de la semaine : panne d'écriture.

jeudi 10 mai 2012

Brookies chocolat noir et noisettes

Nés du mélange entre les cookies et le brownie, ce brookie est un vrai régal (un tout petit régal, j'y ai à peine goûté). 

Ingrédients : 150 g de beurre mou, 200 g de sucre, 1 œuf, 240 g de farine, 1 sachet de levure chimique, 150 g de chocolat, quelques noisettes concassées.

Préparation
. Préchauffez le four à 160 ° C.
. Mélanger le beurre mou et le sucre.
. Lorsque le mélange est homogène, ajoutez l’œuf.
. Ajoutez ensuite la farine et la levure.
. Par ailleurs, faites fondre le chocolat puis l'ajoutez à la préparation précédente.
. Torréfiez les noisettes dans une poêle pendant 2 à 3 minutes. Les ajouter à la pâte.
. Répartir la pâte en boule de pâte de 30 g chaque sur une plaque recouverte d'une feuille de papier sulfurisé.
. Cuire 10 minutes puis laissez refroidir hors du four. L'extérieur des brookies se solidifie en refroidissant.

Pour la dégustation, je vous laisse en décider ;)

mardi 8 mai 2012

Cancale, encore et toujours...

Il est de ces pays où l'on pourrait aller encore et encore, sans jamais se lasser
De ceux que l'on ne peut s'empêcher de photographier 
Réjouissez-vous, j'aime aussi partager :)
C'est que je dois progresser.
Alors regardez, éventuellement admirez et à votre tour, vos critiques, partagez.

 Cancale - Chemin de ronde - Entre Port Briac & Port Picain





La plage de Port Picain












A nouveau le chemin de ronde, cette fois entre Port Picain et Port Briac



Enfin, la maison de quand j'serais grande...

Posotto aux champignons


Un manque de riz à risotto a légèrement modifié le dîner prévu. J'ai donc dû remplacer le riz par de la polenta.
Peut être moins bon mais pas mauvais quand même !

Ingrédients : de la polenta, des champignons de Paris, un oignon, un verre de vin blanc, 2 cs de mascarpone, du parmesan, sel & poivre, de l'huile d'olive.

Préparation
. Faire cuire la polenta.
. Dans une poêle, faire chauffer 2 cs d'huile d'olive. Ajouter l'oignon épluchez et émincé.
. Lorsque l'oignon a bien rissolé, ajoutez les champignons et laissez cuire. Lorsque le tout est un peu sec, ajoutez le vin blanc et laissez évaporer. 
. Lorsque c'est fait : ajoutez le mascarpone et mélangez. Puis ajoutez la polenta (une bonne cuillerée à soupe par personne) et le parmesan.
. Servez chaud.


dimanche 6 mai 2012

Poulet du dimanche

Une recette inspirée de Jamie Oliver, sortie de Toqué de cuisine et encore une fois réalisée comme que je veux d'abord ! C'est ma cuisine !!!





Ingrédients pour 4 personnes : 4 escalopes de poulet, sel et poivre, une botte de persil plat, 4 cc de gingembre moulu, 2 poivrons rouges et 2 poivrons jaunes ou oranges, 4 oignons rouges, 6 pommes de terre, 1 boîte d'ananas au sirop, huile d'olive, 2 cs de sucre en poudre, 6 cs de vinaigre balsamique.

. Préchauffez le four à 190 ° C.
. Assaisonnez le poulet sur toutes ses faces de sel, poivre, persil et gingembre.
. Épluchez les pommes de terre. Coupez les poivrons, les pommes de terre et oignons en quartiers et les placez au fond du plat allant au four. Ajoutez l'ananas coupé en petits morceaux. Versez 3 cs d'huile d'olive, salez, poivrez et enfournez 45 minutes.
. Au bout de 45 minutes posez le poulet sur les légumes et remettre au four pour 20 minutes.
. Au bout des 20 minutes supplémentaires, réservez le poulet et mixer la moitié des légumes avec le sucre et le vinaigre balsamique, ainsi que du sel et du poivre. 
. Servir le tout ensemble.

jeudi 3 mai 2012

Saint Jacques des Alizés

Comment agrémenter le plus respectueusement possible des Saint Jacques Cancalaises ? Avec un mélange d'épices Roellinger, bien sûr !

. Mettre les Saint Jacques dans un saladier, presser le jus d'un citron vert, ajouter 3 cuillères à épices de "poudre des Alizés" et 3 cs d'huile d'olive.
. Laisser mariner une nuit à couvert. Réserver au frigo.
. Cuire les Saint Jacques le temps nécessaire.
. Servir avec une salade de roquette assaisonnée avec une vinaigrette d'huile d'olive, de vinaigre balsamique et un pincée de poudre des Alizés.

Recette inspirée d'une autre, fournie dans le carnet n°01 de www.epices-roellinger.com

mercredi 2 mai 2012

Salade du 1er mai

Une chouette salade fraîche et épicée vue dans Cuisine et Vins de France d'avril-mai 2012 et agrémentée par mes soins.

Salade arlésienne aux asperges vertes - Pour 4 personnes

Ingrédients :
12 asperges vertes, 50 g d'olives noires dénoyautées, 40 g de tomates confites, 10 feuilles de basilic, 80 g de mascarpone, 1 cs de crème liquide, 5 cl de jus de citron, 15 cl d'huile d'olive, quelques gouttes d'huile de truffe (pour ma part, ce fût du gros sel à la truffe), sel, poivre et j'y ai ajouté 6 tranches de bacon.

. Mélangez le mascarpone, la crème liquide et l'huile de truffe. Salez, poivrez et réservez au frigo pendant 30 minutes.
. Éliminez l'extrémité des asperges, lavez-les. Faites-les cuire à l'eau bouillante salée 8 à 10 minutes selon la grosseur. Égouttez-les.
. Faire griller les tranches de bacon dans une poêle chauffée à vif. Détaillez en carrés.
. Coupez en dés les olives et les tomates confites. Lavez, épongez, effeuillez et ciselez le basilic. Coupez les pointes d'asperges et réservez-les. Émincez leurs tiges et mélangez-les dans un saladier aux tomates, olives et basilic. Ajoutez le bacon, le jus de citron, la moitié de l'huile d'olive et mélangez.
. Préparez les assiettes : mettre au milieu un peu de mélange de légumes-bacon, disposez trois pointes d'asperges, surmontez le tout d'une quenelle de mascarpone. Entourez d'un filet d'huile d'olive et assaisonnez de poivre et de fleur de sel.



mardi 1 mai 2012

Le dessert qui tue

Trop bon, trop facile et juste un peu long à réaliser (en temps de cuisson).

Réaliser des meringues sucrées : avec 4 blancs d’œufs, une pincée de sel et 250 g de sucre (dont 4 sachets de sucre vanillé). 
. Mettre le four à chauffer sur 120 °C.
. Battre les blancs en neige très ferme avec une pincée de sel, puis ajouter peu à peu le sucre sans cesser de fouetter.
. Mettre les blancs en petits tas formés chacun d'une cuillère à soupe de blancs sur une plaque recouverte de papier cuisson et enfourner.
. Laisser cuire entre 30 minutes et 1h selon la consistance souhaitée (30 minutes, ça donne une meringue coulante / 1h, elle est dure à l'extérieure et tendre à l'intérieur / voire 1h30 si vous la préférez dure et aérienne).
. Une fois cuite à votre goût, sortez-les du four. Décoller-les doucement de la feuille.
. Laisser refroidir.

Laver et détailler des fraises type gariguettes.

Préparer une crème chantilly (ou plus simple, faites comme moi, achetez une bombe de crème fouettée...) : pas de recette, je n'ai jamais réussi à monter une crème fouettée même au batteur.

Préparer un coulis de fruits rouges (ou plus simple, faites comme moi, achetez-le tout prêt !).

Assembler le tout : meringues d'abord, crème fouettée, fraises puis coulis de fruits rouges.

Admirer quelques secondes (autant que possible et suffisamment pour avoir le temps de prendre une photo) et jetez vous dessus dégustez !

Pas de photo du coup, je sauté l'étape de l'admiration (c'est qu'en cuisine, j'admire avec mon estomac !).