C'est Noël !

Alors ce n'est pas maintenant qu'on va se mettre au régime !

Quelle belle excuse, hein ? Oui, j'avoue, Noël approchant et mon corps et ma tête ayant besoin de se remettre de l'accouchement, je ne me suis pas surveillée plus que cela. J'attends le 3 janvier parce que c'est un lundi, la fin des vacances et la nouvelle année : je me dis donc que c'est une bonne date pour (re)commencer depuis le début.

La question est : "recommencer quoi" ou "où" ou encore "comment" (ça fait trois questions ça...). Bah oui, comprenez, je me tâte... Reprendre de zéro avec Le Livre, ou reprendre où j'en étais restée dans Le Livre (est-ce bien raisonnable ?), ou m'inscrire à Weigth Watchers, ou encore coupler Le Livre et WW... ?
No sé...

Malgré mon inconséquence sur le sujet ces derniers temps, je n'ai repris qu'un seul petit kilo. Certes, les repas de fin d'année ne me sont pas encore passés sur le corps mais j'ai bon espoir de ne pas avoir plus de poids de grossesse que ça à perdre. Restera ensuite les autres kilos : ceux déjà là avant. Tous ceux-là...

Le problème dans tout cela, c'est que je suis interdite d'activités sportives jusqu'à mi-février : la méthode du livre sera donc difficile à appliquer. Car tant qu'une étape n'est pas validée, on ne passe pas à la suivante et il me semble me souvenir que très rapidement il faut se bouger.

Voilà donc le pourquoi de mes interrogations métaphysiques en la matière : être ou ne pas être WW ? Vu tout le bien qu'on m'en a dit, je ne sais si je vais résister longtemps à me lancer.

Sur ce, je vous souhaite un joyeux Noël et une bonne année, et vous dis à bientôt !

La mauvaise habitude d'être soi

Encore un livre de Martin Page... Un recueil de nouvelles, cette fois, où l'on croise un homme qui, fatigué d'être lui, souhaite ne plus être pour perdre la mauvaise habitude d'être soi ou bien cet autre qui s'avère être une espèce en voie de disparition le dernier homo sapiens insularis ou encore cet autre qui voulait rendre la vie plus sûre considérant qu'elle est, sans cela, une tentative de meurtre.

Un panel de drôles d'oiseaux à contre-courant à savourer comme une boîte de chocolats.

Martin Page - La mauvaise habitude d'être soi - Éditions de l'olivier, nov. 2010.

Le petit grumeau illustré

Si vous aussi vous voulez rire à vous en pisser dessus en lisant les aventures du grumeau, de sa maman apprenti et du Chat-Bouboule à Grumeauland, je vous conseille la lecture de ce livre désopilant.

Et après cela, vous vous en remettrez une couche sur le blog à l'origine : le Petit précis de Grumeautique.

Et après cela, vous irez vous coucher souriant(e) et détendu(e)... si vous arrivez à vous arrêter !

L'erreur [Impromptus]

L’erreur avait été de croire que cela serait facile. Croire que je saurais faire les gestes qu’il fallait, au meilleur moment, pour que tout s’enchaîne simplement, logiquement, presque sans bruit. Croire en des images de bonheur figé. Mais c’était oublier un peu vite qu’il n’est pas moi ; qu’il est neuf à la vie quand elle m’a déjà éprouvée ; que sa peau est aussi lisse que la mienne s’est ridée ; qu’il apprend à s’exprimer quand j’ai appris à me museler…

J’avais donc fait l’erreur de croire que je saurais faire naturellement, sans y penser. Oserais-je dire que j’avais fait l’erreur de croire que je saurais faire « primitivement » ? Je l’ose. Mais, non. Finalement, on ne sait pas. On ne sait jamais, n’est-ce pas ? Car chaque jour est nouveau et oblige à se réinventer. Voire à s’inventer tout court. Parce qu’il ne parle pas et que je ne comprends pas. Je le regarde et me sens inutile ; exécute certains gestes sans pour autant être sûre qu’ils soient justes ; et pleure, revenue seule, sur toute cette culpabilité qui ne me quitte plus.

J’avais fait cette erreur. Je n’aurais jamais cru qu’il serait si difficile d’être mère.

Une si douce erreur… Car je suis enfin mère.

---

Pour les Impromptus sur le thème de la semaine : cherchez l'erreur.

Dis, à quoi tu penses ? - # 14

- C'était quoi déjà : "Il n'y a pas de raison physiologique pour que les contractions fassent mal" ... Ha ha ha... C'est juste un GROS MENSONGE !

- La péridurale a été inventée pour une bonne raison. Et on passe facilement outre les bizarres sensations de n'être qu'une femme tronc puis sur le chèque de dépassement d'honoraires à signer à la sortie.

- La main de Doudou a dû finir avec des bleus. Mais sans elle et surtout sans lui, je ne serai pas aller au bout. Non, non, non. Je me serai arrêter ! Non, mais !

- Je confirme : la césarienne d'urgence n'est pas du tout une salade servie rapidement en cas de grosse faim.

- Et tant qu'à choisir, la césarienne sous anesthésie locale, c'est pas la panacée. Peut être que sous anesthésie générale...

- Et tant qu'à choisir, faut savoir que la césarienne sous anesthésie locale m'a permis d'entendre le premier cri de mon enfant et de l'embrasser avant qu'il ne rejoigne son papa... Et ça, ça vaut toutes les souffrances endurées pendant 48h pour mettre au monde notre petit ange.

- J'ai encore changé de forme : je ressemble maintenant à une bouteille d'Orangina avec des jambes.

- Par contre, au bout de mes jambes, il y a de nouveau des pieds. MES pieds ! Finalement, ils ne sont pas si mal une fois débarrassés de tout cet œdème qui les encombraient.

- J'étais fatiguée avant. L'accouchement n'a pas été reposant. La semaine à la maternité a été à moitié terrible. Et depuis, j'essaie de récupérer. Quand est-ce qu'on dort ?

- Nos deux premiers bonheurs en tant que parents nouvellement rentrés chez eux à trois : bébé a fait caca et le cordon est tombé. Tout cela 5 heures après être sortis de la maternité et alors qu'il n'avait rien fait depuis 2 jours. Deux jours, vous vous rendez compte ?! Non, hein ? Vous vous en fichez ? Allez, un peu d'indulgence : c'est notre premier et on l'attend depuis si longtemps. Et puis si vous êtes pas contents, je vous donne quelques détails sur la couleur et la consistance. :)

- Elle est pas belle la vie ?

Nous y voilà...

Nous sommes à J + 18 de ma/sa/notre nouvelle vie. Le Hibou est né ce 15 novembre 2010 à 19h17 (de jour donc) et moi, j'ai dégonflé. Laaaargement ! De façon inespérée. Autant que j'avais gonflé de façon inexpliquée ! :)

Revenons en arrière...

Le 12 octobre, je vous annonçais les chiffres suivants :

105
(ancien 92)

135
(mesure prise au-dessus du nombril / ancien : 97... ou 112 ? Je ne sais même plus où est ma taille et où sont mes hanches !)

Et le numéro complémentaire : 110,3
(ancien : 97)

Entre temps, j’avais continué à prendre… Je n’ai pas de mesures à vous fournir mais un poids, si. Et c’est du lourd... Mon poids donc, à l’arrivée à la maternité, était de… un peu plus élevé que celui du 12 octobre… Bon okay, j’y vais. A terme (c’est le cas de le dire), j’avais atteint 116 kilos. Comme ça, sans rien faire. Juste le temps de dire « pouf pouf » et j’étais énorme. Et je jure que pourtant j’ai fait attention ! Mais mon corps lui, il s’en fichait, il gonflait, gonflait… Et la Martine, elle, elle ne pouvait plus bouger ! Ou presque. J’ai quand même réussi à aller à la piscine presque jusqu’au bout et mon dos me dit merci. C’est déjà ça.

Bon, enfin, voilà, l’air de rien, ma grossesse m’a valu 19 kilos.

Ou plutôt devrais-je dire « m’avait valu » ? Hé bien oui, un plus-que-parfait parfait en l'état parce qu’à J + 18, Martine a, en plus de son Doudou et de son poilu, un magnifique Nathan (un peu ronchon, la nuit, sur les bords…) et 16 kilos 200 en moins !

Pfiou ! Comme quoi, j’avais raison, j’étais pleine d’eau plus que de gras ! Na !

Je jubile un peu, hein, parce que je peux dire que j’en ai entendu pendant ma grossesse, des remarques désobligeantes sur mon poids… A croire que les gens gros n’ont pas le droit d’avoir des enfants. Alors, oui, je sais, il y a plus de risques. M’enfin, je n’ai quasi eu aucun problème et mon gabarit ne m’a pas permis d’échapper à une césarienne d’urgence. Alors, la théorie, les médecins peuvent se la carrer où je pense…

Ça, c’est fait… Et encore, là, je me retiens parce que j'en aurais des choses à raconter... Enfin, passons, ce qui compte, c'est le résultat ! :)

Du coup, voilà d’où je repars en termes de numéro complémentaire :

Et le numéro complémentaire : 99,8
(ancien : 116)

Par contre, je ne vous donne pas les autres mesures parce que cela ne serait pas archi probant : ma poche kangourou n’a pas encore complètement repris sa place (cela peut prendre jusqu’à 6 semaines !) donc ma silhouette est un peu trop proche de la forme d’une bouteille d’Orangina… :/

Il ne me reste donc plus qu’à attendre et surveiller mon alimentation. C’est bien tout ce que j’ai le droit de faire entre le repos nécessaire et imposé par les suites de la césarienne et le temps hivernal bien en avance !

Les rillettes de Proust et autres fantaisies littéraires

Du littéraire et du drôle dans un petit (100 pages) livre farfelu mais bienvenu. Apprenez avec lui comment devenir un "Grantécrivain" au fil des fiches-conseils aptes à vous aider à trouver des idées et les développer.

Il vous dit également comment chercher l'inspiration, choisir ses mots, éviter la confusion, les répétitions ou les adverbes, maîtriser la ponctuation. Tout y passe, assorti d'exemples tirés de la littérature classique (quitte à écorner certains auteurs...).

Et pas besoin d'en faire des tartines, il faut que cela reste digeste ! :)

Et puis, il faut le lire, juste pour la réécriture par synonymes de la Chanson d'Automne de Verlaine...

Les jérémiades oblongues
Des crincrins
De l'arrière saison
Contusionnent mon muscle cardiaque
D'un stress
Uniforme.

...

Petit homme est là

Il ne se passe rien, ici... hein ? :

 

Mais c'est que notre petit ange est né

le 15 novembre tant il était pressé !

A moins que ce ne fût moi...

Parce qu'il y a mis le temps à, le bout de son nez, montrer

tant et si bien qu'il a fallu aller le chercher...

 

Donc maintenant "maman-môa" de se remettre, essaie :)

et à cette vie, toute autre, de tout comprendre, promet...

 

Wou ! Moi, j'vous dit : la vie à trois avec Nathan, ça va décoiffer ! :)

Il ne fait toujours pas beau...

Alors je poursuis sur ma lancée d'occupations sédentaires !

***

Je réchauffe ma sœurette et son petit ventre

(qui deviendra rond aussi, na na nèreu :p)...

Une belle réussite quand on pense à mon degré de maîtrise des aiguilles à tricoter. Tout en point mousse, le reste j'connais pas. La fleur est ma  fierté, montée à la méthode Cacoune :

Rang 1 : monter 4 mailles

Rangs suivants : augmenter d'une maille à chaque rang jusqu'à avoir 14 mailles

Rangs suivants : diminuer d'une maille jusqu'à revenir à 4 mailles et arrêter les mailles.

Cousez les pétales ensemble, puis sur l'écharpe (qui elle fait 30 mailles de largeur presque tout le temps... Je ne saurais vous dire sur combien de rangs, par contre :D).

***

Pour réchauffer bébé pour quand il sera là

sur le même modèle que celle faite en début d'année pour mon neveu (là)

Un côté coton doux imprimé trouvé chez Ikéa et un côté en lin gris, le tout fourré d'une couche de polaire (rose ! ah bah oui, fallait bien en faire quelque chose !).

Ce sont les mêmes personnages que ceux qui ont atterri sur le petit meuble (là).

J'm'en fous du temps : j'ai encore plein d'idées sur ma liste !

Dis, à quoi tu penses ? - #13

. J'en connais au moins deux qui seront contentes que j'accouche : ma carte bleue et ma banquière... C'est fou tout ce qu'on peut acheter sur le net !

. Bon, on a dit que tu avais du caractère, tu seras donc scorpion et non sagittaire. Je te rappelle les dates de chacun de ses signes ou tu as saisi la subtilité ?

. Cours d'accouchement avec les papas : où l'on apprend que si bébé ne se décide pas à venir, ils attendent une semaine après le terme théorique avant de déclencher l'accouchement. Une semaine... Une semaine de plus... Heu... Mais dans 3 semaines, j'aurais explosé, non ? Et ma carte bleue avec !

. Si je l'enfume, ça va le faire sortir ?

. Presque deux mois maintenant que je suis arrêtée. Pas vu le temps passé. A part, peut être, à l'aune de mon ventre qui a trouvé le moyen de repousser les limites de ma chair vers l'infini - et au-delà ! - que je porte en moi.

. Les poilus de la maison se sont habitués à m'avoir à la maison : gamelles et fenêtres qui s'ouvrent à toutes heures, bons petits plats après une journée de travail, maison bien rangée (ça, c'est à moi que ça fait plaisir)... Allez, encore deux semaines et c'est à vous d'assurer tout ça ! :D

. Dernier cours d'accouchement aujourd'hui : le retour de couches. Non, vous ne voulez pas savoir ce que j'ai appris. Moi-même je m'en serais passée...

. Retenons quand même que de toute façon, c'est bébé qui décide.

. Rendez-vous gynéco également aujourd'hui. Mon gynéco n'étant pas là, j'ai eu sa remplaçante. Je m'en serais passée, aussi, de celle-là...

. "Bébé est bien descendu mais pas encore assez." Mais s'il descend plus, j'vais me retrouver avec le bassin sur les genoux, non ?

. "Il n'a pas l'air prêt de sortir ! Faut marcher, madame ! Tous les jours ! Sinon, il ne sortira jamais !" Heu, d'accord, mais pourquoi tu me stresses, là ? Faut savoir à la fin : c'est lui qui décide ou c'est moi ? Et mon dos, tu vas me le remplacer après ?

. "C'est peut être votre poids aussi." Y'avait longtemps qu'on m'en avait pas parlé de celui-là... Quoi, mon poids ? Mon poids l'empêcherait de sortir ! Heu... mais c'est quoi l'argument médical qui sous-tend cette affirmation désagréable et culpabilisante ?

. Et l'homme de rajouter : "ça viendra quand ça viendra". Heureusement que j'ai mon Doudou pour se souvenir d'où se situe l'essentiel.

. Bon, bah, vendredi : shopping. J'me serais bien fait une rando, hein, mais vu le temps !

. Bon sang de journée... Prochaine étape : mercredi prochain, sauf si...

Quand il ne fait pas beau dehors...

... que l'on n'a pas du tout, mais alors pas du tout envie de sortir même pour aller à la piscine et que de toute façon, on ne peut pas aller bien loin : il ne reste plus qu'à terminer les derniers aménagements prévus de la chambre du Hibou.

***

Un petit meuble vite fait, bien fait

soit une table de nuit basique agressée par deux planches d'autocollants

au-dessus

dedans

et même sur les côtés !

***

Une déco montgolfière vite faite, bien faite

un autocollant et du carton plume

Il ne reste plus qu'à trouver où l'accrocher.

***

Une veilleuse "maison" parce qu'on ne trouvait pas ce qu'on voulait

et ça me plaît encore plus !

Je sens que je vais dormir dans sa chambre, moi...

Cela donne envie d'y dormir, hein ? :)

Dis à quoi tu penses ? - #12

. Il reste 2 semaines et demie. Ou encore 18 jours. Ou encore 432 heures. Ou encore 25 920 minutes. Ou encore 1 555 200 secondes. Ou encore…  Si j'avais commencé dans l’autre sens, ça aurait été moins flippant !

. Tout ce temps restant sera-t-il cependant suffisant ? Après ces longs mois passés à te sentir grandir en moi, en nous, dans notre maison, suis-je, sommes-nous prêts à t’accueillir ?

. Saurais-je m’occuper de toi ?

. Maintenant, t’arrêtes les extensions parce que a) il n’y a plus de place ; b) j’ai fermé les yeux jusque-là mais à partir de maintenant j’exige un permis de construire ; c) de toute façon, on ne te le délivrerait pas ce permis, les fondations sont viciées et il y a un risque de glissement de terrain ; et d) il n’y a plus de place !

. J’aimerais quand même bien que tu arrives maintenant : il y a deux, trois petites choses que je ne supporte plus très bien. A commencer par dormir seule et assisse. Et puis, mon nombril menace de se retourner. Mes pieds et mes mains d’exploser…

. J’ai tenté de faire le ménage, du shopping, du rangement, du repassage, de conduire ou me faire conduire sur une route défoncée… Je n’ai pas testé la corde à sauter, tu me diras. Mais rien n’y fait : je choppe un mal de chien au dos et quelques contractions, et puis ça se calme. Tu te marres, hein ?

. PtiBoutDeNous a déjà du caractère. Mais les chiens ne font pas des chats, paraît-il ! Mais des hiboux ! ;p

. En fait, je m’emploie à penser le moins possible maintenant. Pour envisager quoi ? Tu feras, de toute façon, de moi ce que tu voudras…

. Toucher ma bosse, Monseigneur.

Les recettes du mois d'octobre

Un mois fourni car qui dit "j'ai du temps", dit "je cuisine un peu plus souvent".

Voici donc les réalisations culinaires du mois. Attention, c'est long !

***

Tartelette chèvre et tomates cerises

Ingrédients (pour 4 à 6 personnes) :  250 g de pâte feuilletée / 2 cuilllères à soupe d'huile d'olive / 250 g de tomates cerises / 250 g de fromage de chèvre ferme en tranches / 2 cuillères à café de thym frais / sel et poivre

- Etalez la pâte feuilletée sur une surface légèrement farinée et coupez des ronds de 7 cm (ou alors en retournant les plats à tartelette vous pouvez vous en servir comme gabarit en l'appliquant joyeusement sur la pâte étalée).

- Disposez les tomates cerise coupées en deux sur les fonds de tarte. Disposez le chèvre par-dessus.

- Salez et poivrez. Saupoudrez de thym frais et arrosez le tout avec 1 à 2 cuillères d'huile d'olive.

- Enfournez pendant 10 à 15 min, à 210°C (Th 7), jusqu'à ce que la pâte soit levée et croustillante.

***

Salade césar

Ingrédients salade :  1 blanc de poulet par personne / 100 g de croûtons à l'ail / 1 laitue romaine / 150 g de parmesan / 30 ml d'huile/ sel, poivre

Ingrédients vinaigrette : 1 oeuf / 2 gousses d'ail pelée /jus de citron / 5 ml de moutarde dijon / 15 ml de vinaigre blanc / 150 ml d'huile d'olive / poivre

- Pour la vinaigrette : réduisez en une sauce onctueuse l'œuf, l'ail, la moutarde de Dijon et le vinaigre blanc. Salez et poivrez. Incorporez l'huile d'olive en un mince filet tout en mélangeant. Réservez.

- Pour la salade : mélangez la laitue, le Parmesan , le bacon et 3/4 de tasse (175 mL) de la vinaigrette César. Bien mélangez et réservez.

- Dans une poêle, faites griller le poulet dans l'huile d'olive de 10 à 12 minutes jusqu'à ce qu'il soit bien cuit. Durant la cuisson, salez et poivrez. Retirez du feu et coupez en huit lanières.

- Servez la salade César dans quatre grandes assiettes et garnissez de croûtons. Déposez les lanières de poulet sur la salade et décorer de quartiers de citron et de persil frais.

J'y ai ajouté deux œufs durs.

***

Sole au four

Ingrédients : 2 Soles de 400 grammes / 6 échalotes / 1 citron / beurre / 12 brins de persil plat ciselé / 1 verre de vin blanc sec / sel & poivre du moulin

- Disposer les soles préparées, c'est à dire peau noire enlevée, têtes coupées, ébarbées et bien lavées*, dans un plat beurré, tapissé d'échalotes et de persil hachés.

- Mouiller d'un verre de vin blanc sec, parsemer de 40 gr de beurre divisé en petits morceaux, saler et poivrer.

- Cuire au four, en arrosant souvent (à 180° et pendant 30 minutes cela a suffit pour nous).

*Remarquez cependant ce que dit la recette : peau noire enlevée, têtes coupées, ébarbées et bien lavées. Bien lavées, j'sais faire. Mais le reste ? Surtout quand Doudou a dit au poissonnier : "Non, non, c'est bon. On le préparera nous-mêmes"... Et bien ça donne ça. De l'intérêt d'avoir un Doudou chez soi.

Écailler :

Couper la tête du poisson :

Et déshabiller la bête :

***

Pâtes à ce qui reste

Alors si je me souviens bien dans ce plat, il y avait : des pâtes, des olives noires, du fromage de chèvre, des petits oignons blancs revenus dans du beurre et des herbes.  Sel & poivre bien sûr !

***

Risotto aux champignons et au pistou

Cette recette bien bonne est issue de Cuisine et Vins de France de Septembre-Octobre 2010. Par contre, je vous la livre comme je l'ai faite parce que contrairement au magazine, je n'ai pas fait mon pistou moi-même (booooouuuuuh) mais me suis servie d'un pot tout prêt (hé j'suis enceinte quand même !).

- Pelez et ciselez 1 oignon. Epluchez et essuyez 200 g de champignons de Paris puis coupez-les en petits cubes.

- Diluez 1 tablette de bouillon de volaille dans un litre d'eau bouillante. Réservez.

- Dans une casserole à fond épais, faites chauffer 2 cuillerées à soupe d'huile et y faire revenir les oignons 3 minutes, puis les champignons. Les faire revenir jusqu'à ce que les champignons ne rendent plus d'eau. Ajoutez 250 g de riz à risotto et remuez sur feu doux jusqu'à ce que le riz soit bien enrobé.

- Couvrez à ras avec le bouillon. Laissez absorber. Et recommencer jusqu'à ce que tout le bouillon soit absorbé (environ 17 minutes de cuisson, le riz doit être crémeux).  Ajoutez alors 100g de parmesan, 20 g de beurre et le pistou. Remuez longuement hors du feu et mangez !

***

Purée de carottes

Ingrédients (pour 4 à 5 personnes) : 6 à 7 belles carottes / 1 grosse pomme de terre / sel, poivre / une noisette de beurre / 2 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse / 1 cuillère à café de cumin / 1 pincée de noix de muscade

- Épluchez les légumes & les mettre à cuire environ 10 à 15 min dans une cocotte minute.

- Une fois cuits, mettez les légumes ainsi que les autres ingrédients dans le bol du mixeur.

- Mixez le tout jusqu'à l'obtention d'une purée lisse.

***

Cookies chocolat, noisettes, céréales et pépites de chocolat blanc

D'après une idée adaptée de Mes brouillons de cuisine qui sait toujours comme me donner faim !

Ingrédients : 150g de sucre roux / 150g de farine / 1 demi paquet de levure / 30g de noisette en poudre / 1càs de cacao amer non sucré / 90g de beurre fondu / 1 œuf battu / 2 sachets de sucre vanillé / 90g de pépites de chocolat blanc / 2 poignées de céréales spécial K


- Préchauffez le four à 180°C. Dans un saladier, mélangez le sucre et le sucre vanillé, la farine, la levure, la noisette en poudre et le cacao. Faites fondre le beurre et le laisser refroidir.

- Ajoutez l'œuf entier, le beurre refroidi, les pépites de chocolat et les céréales écrasées. Bien mélanger pour obtenir une boule de pâte souple. Faites des boules de 4 cm environ, aplatissez-les un peu avec la paume de main et enfournez pour 10-12 minutes.

La maîtrise du four est importante, surtout s'il est à chaleur tournante ! :)

***

Pitites tartelettes tatin Figues-pommes & Nectarines

Je les ai faites "à l'arrache" :

- Au fond de chaque plat, mettez du beurre et du sucre (je suis nulle en caramel...).

- Ajoutez les fruits (pommes-figues pour certaines et nectarines pour les autres) coupées en lamelles.

- Rajoutez du beurre et du sucre vanillée sur les fruits.

- Collez par-dessus un morceau de pâte brisée (une fois étalée, je fais des marques sur la pâte avec le plat à tartelette retourné).

- Et enfin, enfournez à four chauffé à 180°C pendant 35 minutes.

***

Salade de fruits

Quoi de plus simple qu'une salade de fruits (dit-elle alors que cela devait être la 2ème fois que j'en faisais et que la première date de la venue de Pandora en mes murs !).

- Couper des fruits : ici une pomme, trois clémentines, deux kiwis, un demi pamplemousse et deux bananes.

- Ajouter un peu de jus d'orange et un truc qui donne du goût (cannelle, gingembre, sucre vanillé...).

Et c'est tout ... bon !

***

Il y eut aussi :

un fricassé de veau à se damner

un quatre-quart au beurre salé ultra moelleux (recette là)

une tarte au chocolat archi réussie (recette là)

et un fondant au chocolat fondant à mourir même si on était déjà damné (dont je garde la recette ;)

***

Je vous dis donc au mois prochain... peut être, si j'ai le temps ! ;)

Encore un peu de rangement

J'ai fait encore un peu de rangement de ci, de là.

Une nouvelle page est apparue sur ce site (voyez l'onglet Récits de voyages & balades) : vous y trouverez des fichiers de nos voyages & balades, donc,  qui sont, en fait, une compilation des billets publiés en leur temps sur Mot Compte Triple.

Du coup, les billets concernés ont disparu de Mot Compte Triple, ça fait de la place.

Et je poursuis... Mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir ranger maintenant ? :)

Dis, à quoi tu penses ? - #11

- Je viens de passer un nouveau stade dans les yeux de mon mari : mon nouveau surnom est "le convoi exceptionnel".

- Quand j'y pense, conduire la voiture est devenu compliqué : il faut monter dans la voiture, toucher les pédales avec mes pieds sans toucher le volant avec mon ventre, conduire avec les jambes écartées. Avant l'autocollant "Bébé à bord", il me faudrait un autocollant "Grenouille au volant" !

- Soit bébé est un rigolo, soit il n'aime pas les échographes : il a retrouvé le sens du vent(re)...

Okay je sors...

A moins que bébé ne prenne mon tour ? Pour sortir...

J'suis drôle aujourd'hui ! :)

- J'ai donc gagné mon ticket pour un accouchement par voie basse. Le truc qui dure 12h (en moyenne) pour le premier  bébé.

- En ce weekend à rallonge pour Doudou, Bébé a fondu sur mon bassin (comprendre qu'il est descendu). Le voilà dans les starting block (et moi, on peut dire que je suis dans  les étriers ?).

- Je ne sais pas ce que je préfère en cette fin de grossesse : les incessants fourmillements dans les doigts, le dos et la ceinture abdominale qui ne supportent plus grand chose ou encore la rétention d'eau qui me gonfle sans jeu d'eau de mots. Je me tâte...

- Encore 24 jours. Bébé va arriver !

- Maxi 24 jours. Bébé va arriver...

- Maxi, hein ? Je ne suis plus bonne à rien.

- Bébé VA ARRIVER !!!!!! On n'a jamais été aussi prêts près.

et le jour pour eux sera comme la nuit

Cent vingt quatre pages très joliment écrites mettant en scène une famille devant faire face au suicide du fils de 20 ans.

Une histoire commune racontée ici avec des phrases ciselées faites de mots choisis, évitant ainsi de tomber dans la pathos. Une vraie réussite.

"En voyant les copains de Denis, elle ne peut s'empêcher de penser : ils finiront leurs études, feront l'amour, trouveront des jobs, auront des enfants, des petits-enfants. Ils auront le tableau de la vie, quand Denis part avec l'esquisse."

Ariane Bois - et le jour pour eux sera comme la nuit. Ramsay littératures, janvier 2009.

Ouragan

Plus il écrit, plus j'aime cet auteur.

Sur le conseil d'une amie, j'ai d'abord lu Le soleil des Scorta et j'avais aimé mais même tout Goncourt qu'il fut, il ne m'a pas laissée un souvenir impérissable (désolée...).

Je sais avoir lu La porte des enfers parce que je l'ai dans ma bibliothèque et parce que - Waow ! - ce livre était impressionnant : une écriture ancrée dans le réel pour un sujet des plus fantasmagorique.

Et voici, enfin, le dernier : Ouragan. L'histoire se déroule à la Nouvelle-Orléans lors du passage de l'ouragan Katrina. Se mêlent sur cette scène différents personnages qui, face à cet évènement, réagissent (ou pas...) chacun à leur manière.

Qu'ai-je fais de ma vie ? Allons-nous survivre ? Et si je survis, que ferais-je ? Veux-je survivre, d'ailleurs ?

Cet auteur a un monstrueux talent d'écriture pour décrire les lieux et les gens dans leur plus profonde noirceur ; talent qu'il convient de ne laisser passer sous aucun prétexte !

Laurent Gaudé. - Ouragan. Actes Sud, Août 2010.

Dis, à quoi tu penses ? - #10

- Ça le fait rire : mon ventre touche par terre quand je suis à quatre pattes. Ha ha, vachement drôle...

- Du coup, on fait chambre à part. Non, non, ça n'a rien à voir avec le fait que je prends trop de place, que je me lève 5 fois par nuit, que je renverse au passage la bouteille d'eau ou fait peur au chat qui se carapate en courant dans les escaliers (et j'vous jure que quand il court, on à l'impression qu'il porte des sabots !).

- Oui, bébé, là, y'a mes côtes et au-delà, si ça ne t'ennuie pas, c'est mon jardin secret. Tu ne peux pas y aller pour ranger un pied ou un bout de cul. J'vais en garder un peu pour moi d'mon corps, hein ?

- Les hoquets de bébé deviennent des  raz-de-marée.

- C'est le mois du "ah, non, ça, je ne peux plus le faire..."

- Je ne m'allonge plus dans le canapé de peur de ne plus pouvoir en sortir.

- Je ne prends plus de bain sans la présence de Doudou dans la maison. Elle a rétréci, la baignoire... Alors, en sortir, seule...

- C'est dommage qu'il commence à faire froid : il me faut maintenant mettre des chaussettes. Et troquer mes tongs contre mes chaussures de randos (qui se ferment avec une coulisse, que je ne peux plus coulisser...).

- Je n'ai plus qu'un seul pantalon qui me va. J'en ai acheté 4 exemplaires...

- Bon, c'est officiel, j'en peux plus. Je rêve de légèreté et d'agilité...

Et puis, quand même de voir son petit nez

De pouvoir enfin le caresser de la tête aux pieds

Pendant des heures, des yeux, le bouffer

Et contre mon cœur doucement le presser

- Voici donc venu le 9ème mois. Encore 4 semaines. Mais t'arrêtes de grandir, hein ? Où voudrais-tu que j'en mette plus ?!

- Prisca-ffalée, Prisca-llongée...

New York Fantasy

Premier roman de son auteur, New York Fantasy est un livre sur le voyage. Voyage entre Paris et New York, voyage dans New York même et voyage intérieur du narrateur.

New York semble être comme je l'imagine : en demi-teinte, illuminée, hyperactive, porteuse de rêves et pourtant presque déjà surannée. Comme si la ville était synonyme de mélancolie, de nostalgie.

"New York était le lieu où les gens venaient non pas afin de vivre ou de concrétiser leurs rêves mais plutôt pour s'inventer les rêves qu'ils n'avaient pas."

Il y parle aussi de Léonard Cohen, que je ne connais pas. Mais il en parle de telle façon que j'ai bien envie de le découvrir... Je le note sur ma liste de chose à faire.

Mon amour j'ai attendu
j'ai attendu jour et nuit
je n'ai pas vu le temps passer
j'ai jeté ainsi la moitié de ma vie.
Il y avait des tas d'invitations
et je sais que tu en as envoyé
mais j'attendais
qu'un miracle arrive...

Un livre sur l'art et l'écriture qui pose question ou plutôt y répond.

"D'après lui, il y avait un prix, un tribut à payer à l'art. Il n'y avait pas d'art sans sacrifice."
"Pour écrire, il faut faire un sacrifice. Il faut être prêt à sacrifier son bonheur."

Un livre sur le chemin vers soi, qui en partant de soi nous ramène à... soi !

"Et puis, il y avait cette phrase de Kérouac tirée d'un de ses écrits de jeunesse, qui disait qu'on finissait fatalement par rentrer chez soi et que ce qu'il fallait retenir en définitive c'était le nombre de tours de piste qu'on avait réalisés entre le moment de son départ et celui du retour programmé."

Le tout soutenu par une belle langue très bien utilisée et des personnages haut en couleurs. Le genre de livre que j'aimerais commettre...

JACQUEMOND Olivier. - New York Fantasy. - Mercure de France, mai 2009.

Dis, à quoi tu penses ? - #9

- Apprendre à accoucher. Premier cours : nutrition et entretien du corps.

- Mal dormir.

- Appeler la mutuelle pour connaître les conditions de prise en charge des dépassements d'honoraires.

- Envisager d'accoucher par voie basse (mais pas sans péridurale) !

- Apprendre à accoucher. 2ème cours : les exercices prénataux et la respiration.

- Mal dormir et réveiller Doudou, qui lui travaille, à chaque saut de carpe dans le lit... Enfin, saut de carpe... Quitte à être un truc qui vit dans l'eau, je suis plus proche de la baleine !

- Aller à l'écho du 3ème trimestre. Découvrir qu'il s'est bien retourné comme  il était censé le faire à cette période... et qu'il est maintenant dans le mauvais sens ! Aussi têtu que sa mère ! Envisager donc d'accoucher par césarienne avec anesthésie locale.

- Écrire à la mutuelle pour se faire confirmer par écrit les conditions de prise en charge des dépassements d'honoraires.

- Apprendre à accoucher. 3ème cours : la douleur et la péridurale. Espérer qu'il se retourne à nouveau pour se présenter "normalement". Quand même...

- Rencontrer l'anesthésiste et s'entendre dire qu'on a un dos "pas bien facile", un nombre de plaquettes "limite", une carte de groupe sanguin "pas aux normes" et 1 chance sur 3 que la péridurale fonctionne.

- Envisager de ne pas accoucher du tout et en tout cas, prier pour qu'il garde la tête haute... Finalement.

- Rappeler la mutuelle pour comprendre pourquoi leur courrier de réponse semble différent de la réponse obtenue à l'oral et demander qu'il faxe à la clinique une "prise en charge des dépassements".

- Se demander quelle taille font ses pieds maintenant ? Et s'il porte des chaussures à crampons (et comment il les a obtenues) ?!

- Apprendre à accoucher. 4ème cours : le travail et les contractions. Vous saviez qu'il n'y a pas de raison physiologique pour que les contractions fassent mal et que les douleurs ressenties pendant le travail sont en grande partie d'origine psychologique ? Et vous saviez aussi que quand bébé est mâture et que l'utérus est prêt à accoucher, ils envoient ensemble un message à la maman ? Son cerveau répond alors en déclenchant la sécrétion de l'ocytocine (hormone qui provoque les contractions), ainsi que des endorphines (sorte de morphine). C'est ainsi que le travail débute. C'est quand même vachement bien conçu tout ça !

- Envisager d'accoucher par voie basse même s'il reste en état de siège tellement ça a l'air "sympa"... Puis écouter la sage-femme expliquer pourquoi les enfants se présentant par le siège sont accouchés par césarienne... Finalement, je prendrai une césarienne (rien à voir avec la salade ? Dommage...).

- Retourner aux admissions de la clinique pour prévenir que la mutuelle ne faxe pas de prise en charge s'il s'agit d'un accouchement par voie basse : nous avançons les frais et la mutuelle nous rembourse sur présentation de la facture (salée).

- Prévoir tout de même de rappeler la mutuelle pour qu'il faxe une prise en charge si, finalement pour une raison quelconque, l'accouchement se prévoit par césarienne. Parce que là ce n'est plus de la maternité, mais de l'hospitalisation...

- Accoucher ou ne pas accoucher... telle est la question ?

- Heu, non, de toute façon d'une manière ou d'une autre, il sortira de là... Hein que tu vas sortir ?

Dis, à quoi tu penses ? - # 8

- Un T-shirt = un repas. Quand j'ai de la chance...

- A la piscine, ma ligne de flottaison se déplace d'un jour à l'autre. Je vais finir par nager debout...

- Debout (2 secondes) ou assise trop longtemps, bébé descend. A la piscine, il remonte (haut !). Et dans le canapé, il tombe à droite ou à gauche, voire s'étale de droite à gauche. Un grand voyageur, ce hibou !

- Il fait un super temps pour tes "vacances", dixit Doudou.

- J'ai les bras plus courts. Si, si, je vous jure. Y'a des choses que je n'atteins plus...

- Aaaahhh ! On m'a volé mon nombril. Il était là, au centre de moi, la dernière fois, j'suis sûre ! Ah bon, il est toujours là ? C'est le machin tout plat, là ? Yerk...

- N'empêche, je ne sais pas qui d'entre vous apprécie de se nettoyer le nombril au coton tige. Perso, je n'ai jamais aimé. Et bien, maintenant, je ressens ça à longueur de temps puisqu'il affleure. Double-yerk...

- Les phrases de la semaine :

Ce n'est pas un freluquet que vous êtes en train de nous faire !

Freluquet : jeune homme généralement mince, d'apparence frêle, de mise soignée ; personnage léger, frivole et prétentieux. En même temps, je préfère...

Vous pesiez 2kg 6 à la naissance ! Vous vous êtes rattrapée depuis !

Voilà, c'est ça... ("Co...asse").

Vous êtes enceinte ?

Non, je suis atteinte d'une forme très rare d'aérophagie. C'est d'ailleurs grâce à ça que j'ai décroché un petit boulot à la piscine : fournir les bulles du jacuzzi. Oh bah non, partez-pas, c'est dommage, l'eau est bien chaude maintenant...

- Appelez-moi Prisca-napé...

Le loto du 8ème mois : juste pour rire...

105
(ancien 92)

135
(mesure prise au-dessus du nombril / ancien : 97... ou 112 ? Je ne sais même plus où est ma taille et où sont mes hanches !)

Et le numéro complémentaire : 110,3
(ancien : 97)

Il n'y a bien que dans ces conditions que de tels chiffres m'enthousiasment.

Mais sachant qu'à la sortie de la mater, on a perdu 8 ou 9 kilos (disons 8), et que j'envisageais avant la grossesse d'en perdre (je pose 1, je retiens 3...) 27 (arrondissons à 30), il me faudra me délester de (je pose 12, je retiens 56...) : bip,3
Ah désolée, c'est censuré. En même temps, vous n'avez qu'à calculer vous-même. Je ne peux juste décemment pas l'écrire, ni le prononcer. Ce sera le chiffre-dont-on-ne-peut-pas-prononcer-le-nom... dont nous reparlerons bientôt (encore 6 semaines !).