Un mois de février chargé en anniversaires et un besoin irrépressible de prendre l'air loin des contrariétés diverses et variées de ce début d'année nous ont menés à ce weekend familial et cancalais bien mérité. Et même sous la pluie qui tombe et le vent qui souffle depuis que nous sommes arrivés, nous en profitons et pensons bien continuer à. La preuve, la sortie de ce matin au marché pour ramasser chou-fleur et autres "bretonnades", le tout enveloppé dans un bouquet d'embruns.
Étonnant comme la pluie bretonne est plus doucement acceptée que celle de Paris !
Du coup, je suis partie de chez moi sans mon mètre de couturière et je n'ai pas l'intention de demander à belle-maman si elle en a un. Parce qu'assurément, elle doit en avoir un et qu'assurément je n'ai pas envie de de m'en servir !
Je m'aperçois cependant que mon dernier bilan mensuel date du 5 décembre. Alors là j'ai deux options : soit je reprends le rythme mensuel du bilan, soit je le "trimestrialise". Je ne sais pas encore. Mais pendant que je réfléchis, je m'en vais vous en faire un, de bilan. Un vrai de vrai, sans phare, ni baleine (ou presque) !
Poids : ah bah, j'sais pas... c'est important ? La dernière fois que j'ai effleuré le dessus de ma balance, elle s'obstinait à m'annoncer 97,4 kg. Et celle d'ici m'a répondu "batt"... Les piles sont vides ou c'est une excuse pour ne pas me répondre ? En tout cas, ce n'est ni bon, ni mauvais mais pas bien agréable. Cela stagne et je n'aime pas bien ça.
Mensurations : comme indiqué en titre et plus haut, je n'ai pas de mètre. Le principe du "pas de bras, pas de chocolat" qui n'est pas pour me déplaire pour une fois.
Avec le recul, je me rends compte également que si mes mensurations stagnent elles aussi, le dernier palier atteint est une petite victoire quand même. Souvenirs...
Application des étapes : revenons également en arrière.
Etape 0 : au plan de l'état d'esprit, j'en suis toujours au même point. Persuadée pour diverses raisons tant personnelles que médicales, qu'il est nécessaire que je perde du poids, non pas à tout prix mais avec plaisir et engagement ; pour moi et seulement pour moi. Tellement persuadée que certains jours dans certaines situations, j'en ai mal tant je me déteste de ne pas y réussir. A la limite du mauvais état d'esprit...
Etape 1 : l'étape 1 est intégrée mais pas toujours bien appliquée.
Si je ne mange plus que très rarement au-delà de ma faim (d'où la stabilisation), j'ai quelques ratages au plan de l'exercice physique. J'ai trop de mal à gérer mon emploi du temps, du coup je fais beaucoup moins (pas...) de sport donc j'ai moins de muscles donc j'ai plus mal au dos donc je prends plus l'ascenseur et les escaliers mécaniques. CQFD. Ce n'est pas que j'en sois fière. Sachez même que j'en souffre (physiquement et moralement).
Etape 2 : faut que je révise, je crois... Je ne suis pas au top sur cette étape-ci. Je ne bouge pas assez. Je me suis laissé déborder par le quotidien et dans le même temps j'ai perdu la conscience de moi-même.
Etape 3 : celle-là, ça va mieux ! Je bois de l'eau et du thé. Plein, plein, plein. De l'alcool à petites doses (si, si, si...). Plus de café ou presque. Au moins quelque chose que j'ai réussi à faire !
Etape 4 : elle me plaît bien cette étape mais le début d'année a été, comme je l'ai déjà dit, très mouvementée, beaucoup trop pour que je prenne le temps de l'appliquer sérieusement. Je ne désespère cependant pas d'y arriver. Je vais m'y recoller. Promis, juré, craché. Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais au Mc Do.
Un bilan mitigé tout en demi-teinte donc, mais je sais ce qu'il me reste à faire.
Et en attendant, je m'en vais déjeuner en famille parce qu'il faut bien les fêter les multiples anniversaires : 34 ans pour ma moitié et 90 pour la grand-mère de ma moitié ! Cela va faire de la bougie à souffler ce midi !
Étonnant comme la pluie bretonne est plus doucement acceptée que celle de Paris !
Du coup, je suis partie de chez moi sans mon mètre de couturière et je n'ai pas l'intention de demander à belle-maman si elle en a un. Parce qu'assurément, elle doit en avoir un et qu'assurément je n'ai pas envie de de m'en servir !
Je m'aperçois cependant que mon dernier bilan mensuel date du 5 décembre. Alors là j'ai deux options : soit je reprends le rythme mensuel du bilan, soit je le "trimestrialise". Je ne sais pas encore. Mais pendant que je réfléchis, je m'en vais vous en faire un, de bilan. Un vrai de vrai, sans phare, ni baleine (ou presque) !
Poids : ah bah, j'sais pas... c'est important ? La dernière fois que j'ai effleuré le dessus de ma balance, elle s'obstinait à m'annoncer 97,4 kg. Et celle d'ici m'a répondu "batt"... Les piles sont vides ou c'est une excuse pour ne pas me répondre ? En tout cas, ce n'est ni bon, ni mauvais mais pas bien agréable. Cela stagne et je n'aime pas bien ça.
Mensurations : comme indiqué en titre et plus haut, je n'ai pas de mètre. Le principe du "pas de bras, pas de chocolat" qui n'est pas pour me déplaire pour une fois.
Avec le recul, je me rends compte également que si mes mensurations stagnent elles aussi, le dernier palier atteint est une petite victoire quand même. Souvenirs...
21/09/09 => 5/12/09 => 23/01/10
101 => 95 => 90,5
107 => 97,5 => 93,5
121 => 112,5 => 111
101 => 95 => 90,5
107 => 97,5 => 93,5
121 => 112,5 => 111
Application des étapes : revenons également en arrière.
Etape 0 : au plan de l'état d'esprit, j'en suis toujours au même point. Persuadée pour diverses raisons tant personnelles que médicales, qu'il est nécessaire que je perde du poids, non pas à tout prix mais avec plaisir et engagement ; pour moi et seulement pour moi. Tellement persuadée que certains jours dans certaines situations, j'en ai mal tant je me déteste de ne pas y réussir. A la limite du mauvais état d'esprit...
Etape 1 : l'étape 1 est intégrée mais pas toujours bien appliquée.
Si je ne mange plus que très rarement au-delà de ma faim (d'où la stabilisation), j'ai quelques ratages au plan de l'exercice physique. J'ai trop de mal à gérer mon emploi du temps, du coup je fais beaucoup moins (pas...) de sport donc j'ai moins de muscles donc j'ai plus mal au dos donc je prends plus l'ascenseur et les escaliers mécaniques. CQFD. Ce n'est pas que j'en sois fière. Sachez même que j'en souffre (physiquement et moralement).
Etape 2 : faut que je révise, je crois... Je ne suis pas au top sur cette étape-ci. Je ne bouge pas assez. Je me suis laissé déborder par le quotidien et dans le même temps j'ai perdu la conscience de moi-même.
Etape 3 : celle-là, ça va mieux ! Je bois de l'eau et du thé. Plein, plein, plein. De l'alcool à petites doses (si, si, si...). Plus de café ou presque. Au moins quelque chose que j'ai réussi à faire !
Etape 4 : elle me plaît bien cette étape mais le début d'année a été, comme je l'ai déjà dit, très mouvementée, beaucoup trop pour que je prenne le temps de l'appliquer sérieusement. Je ne désespère cependant pas d'y arriver. Je vais m'y recoller. Promis, juré, craché. Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais au Mc Do.
Un bilan mitigé tout en demi-teinte donc, mais je sais ce qu'il me reste à faire.
Et en attendant, je m'en vais déjeuner en famille parce qu'il faut bien les fêter les multiples anniversaires : 34 ans pour ma moitié et 90 pour la grand-mère de ma moitié ! Cela va faire de la bougie à souffler ce midi !