Jean-Paul SARTRE, moi, jusque là, je ne connaissais pas ! Enfin, si ! Je savais que c’était un philosophe et un écrivain, qui, selon les mots d’Albert DUPONTEL, « avait écrit à sa mère »… Je savais aussi qu’il avait partagé sa vie avec Simone de Beauvoir (que je n’ai jamais lu non plus… que de retard, j’ai !).
Maintenant, je ne dis pas que je connais … Mais m’en passer va devenir difficile !
Avant de me lancer dans le vif du sujet, je me permets un avertissement : l’interprétation que je vais vous en donner m’est toute personnelle. Tout est, en effet, question de subjectivité.
Sur les conseils de lecture éternellement avisés de Zébulon, j’ai fini par attaquer L’existentialisme est un humanisme*.
Qu’ai-je ressenti ? Non sans avoir peinée à certains endroits, c’était un peu comme si SARTRE lisait dans ma tête, comme s’il réussissait à traduire – enfin – la façon dont j’envisage de traverser la vie.
Qu’en ai-je compris ? « L’existence précède l’essence. »
L’homme n’est pas définissable a priori car il n’est d’abord rien. « Il ne sera qu’ensuite, et il sera tel qu’il se sera fait. » Et, partant, de ce qu’il est, il se devra d’en être responsable ; être responsable non pas de sa « stricte individualité, mais (…) de tous les hommes. »
Car « il n’est pas un de nos actes qui, en créant l’homme que nous voulons être, ne crée en même temps une image de l’homme tel que nous estimons qu’il doit être ».
Car l’ « on doit toujours se demander : qu’arriverait-il si tout le monde en faisant autant ? et on échappe à cette pensée inquiétante que par une sorte de mauvaise foi. »
La nature humaine n’est alors jamais figée, il n’y a dès lors pas de déterminisme : l’homme est libre – il est la liberté – et l’homme est responsable de cette liberté.
Nos actes nous déterminent donc, et, nous déterminons nos actes. L’existence précède l’essence c’est donc s’inventer chaque jour en faisant les choix nécessaires à notre projet.
L’ « homme n’est rien d’autre que son projet, il n’existe que dans la mesure où il se réalise, il n’est donc rien d’autre que l’ensemble de ses actes, rien d’autre que sa vie ».
Qu’en ai-je retenu ? La réalité à l’état brut, entre dureté et optimisme…
Maintenant, je ne dis pas que je connais … Mais m’en passer va devenir difficile !
Avant de me lancer dans le vif du sujet, je me permets un avertissement : l’interprétation que je vais vous en donner m’est toute personnelle. Tout est, en effet, question de subjectivité.
Sur les conseils de lecture éternellement avisés de Zébulon, j’ai fini par attaquer L’existentialisme est un humanisme*.
Qu’ai-je ressenti ? Non sans avoir peinée à certains endroits, c’était un peu comme si SARTRE lisait dans ma tête, comme s’il réussissait à traduire – enfin – la façon dont j’envisage de traverser la vie.
Qu’en ai-je compris ? « L’existence précède l’essence. »
L’homme n’est pas définissable a priori car il n’est d’abord rien. « Il ne sera qu’ensuite, et il sera tel qu’il se sera fait. » Et, partant, de ce qu’il est, il se devra d’en être responsable ; être responsable non pas de sa « stricte individualité, mais (…) de tous les hommes. »
Car « il n’est pas un de nos actes qui, en créant l’homme que nous voulons être, ne crée en même temps une image de l’homme tel que nous estimons qu’il doit être ».
Car l’ « on doit toujours se demander : qu’arriverait-il si tout le monde en faisant autant ? et on échappe à cette pensée inquiétante que par une sorte de mauvaise foi. »
La nature humaine n’est alors jamais figée, il n’y a dès lors pas de déterminisme : l’homme est libre – il est la liberté – et l’homme est responsable de cette liberté.
Nos actes nous déterminent donc, et, nous déterminons nos actes. L’existence précède l’essence c’est donc s’inventer chaque jour en faisant les choix nécessaires à notre projet.
L’ « homme n’est rien d’autre que son projet, il n’existe que dans la mesure où il se réalise, il n’est donc rien d’autre que l’ensemble de ses actes, rien d’autre que sa vie ».
Qu’en ai-je retenu ? La réalité à l’état brut, entre dureté et optimisme…
Un minimum de maturation me sera sûrement encore nécessaire mais je pense que je saurais en faire bon usage...
Sur ce, il eût fallu que je songe à sortir la chaise longue pour avancer dans la lecture de Les mots**, tout en faisant griller les pattes de poulet cru qui me servent de jambes… Voici pour les actes, sachant que le projet poursuivi ici est le repos total et un teint moins pâlot.
Et si tout le monde en faisait autant ? … Franchement, mauvaise foi ou pas, je le leur souhaite !
Sur ce, il eût fallu que je songe à sortir la chaise longue pour avancer dans la lecture de Les mots**, tout en faisant griller les pattes de poulet cru qui me servent de jambes… Voici pour les actes, sachant que le projet poursuivi ici est le repos total et un teint moins pâlot.
Et si tout le monde en faisait autant ? … Franchement, mauvaise foi ou pas, je le leur souhaite !
* SARTRE, Jean-Paul. – L’existentialisme est un humanisme – Editions Gallimard, 1996.
** SARTRE, Jean-Paul. – Les mots – Editions Gallimard, 1964.